Substrat stoïque
L'écrivain n'est qu'un vecteur d'émotions qui ne lui appartiennent pas... Son rôle est de transmettre des stimuli imaginaires favorisant l'émulation, chez le lecteur, d'une palette de sensations dont la richesse est proportionnelle à l'audace du conteur pour jongler avec les envies du lecteur. Mais que se passerait-il si l'écrivain lui-même décidait de décrire ses propres émotions ? Le lecteur pourrait-il adhérer à ses postulats ?
Par exemple... Ceci est très savoureux.
3 août 2005 à 23:17
Dew est un être à part qui peut allègrement mixer plaisanteries légères, informations exclusives, conseils désintéressés, prises de positions difficiles et beauté artistique. Comment cerner une telle personne, nul ne peut le dire. Cette image nous permet cependant de franchir un pas de plus dans les méandres de son cerveau.
Sur ce, bonne nuit!
4 août 2005 à 00:02
Je suis amoureux de dew…
4 août 2005 à 00:39
Salaud !
4 août 2005 à 01:53
C’est exactement je que j’ai toujours voulu dire. **** *****!
5 août 2005 à 10:31
Je ne sais pas si vous avez remarqué mais les titres choisis par dew le sont avec habileté. Le substrat est un équivalent à la matière dans la philosophie stoïcienne, c’est une des quatre espèces corporelles. Une façon de nous rappeler que ce mets en apparence figé n’est que matière et ne peut primer sur l’incorporel.
9 août 2005 à 15:28
je connais aussi »Durant les travaux l’exposition continue » :o)