A la recherche de logos
vendredi 28 janvier 2005 | Webdesign

Les meilleures choses étant les plus simples...

vendredi 28 janvier 2005 | Webdesign
Les meilleures choses étant les plus simples...
mercredi 26 janvier 2005 | Webdesign
Pourquoi se compliquer la vie ?
PS : fumer tue.
lundi 17 janvier 2005 | Webdesign
Présence-PC s'interroge : Le futur internet sera-t-il en PDF ? Le titre est mal formulé et devrait s'intituler : l'avenir de la publication web passe-t-il par le format PDF ? Question qui va certainement interloquer tous les webmasters. Il y a de quoi rester la bouche ouverte, en un cri étranglé.
Comme la plupart des internautes confirmés le savent, le format PDF a été créé par Adobe et est destiné à l'origine à l'impression et à la lecture de documents quelle que soit la plateforme de destination. Ces documents sont réalisables grâce à Adobe Acrobat (payant) ou quelques outils indépendants dont le coût varie en fonction du nombre de possibilités offertes. OpenOffice permet d'en faire autant.
Quant à l'utiliser pour le web, sous prétexte que la mise en page est plus aisée qu'en XHTML/CSS et qu'il est possible d'y intégrer des "des liens, des images, du son, de la vidéo", c'est une idée d'hérétique. Tout ceci est déjà faisable en HTML et largement répandu. Même si la notion de plugin à installer introduit une contrainte supplémentaire. Dire que le PDF pourrait remplacer les pages HTML à terme est ignorer la partie cachée de l'iceberg.
Avantages et inconvénients s'entrechoquent. Il est plus facile de sauver l'intégralité d'un document PDF car celui-ci est constitué d'un seul fichier (texte + images) tandis qu'un document HTML impose de conserver la multitude de fichiers liés, en modifiant au besoin les chemins d'accès. C'est délicat même avec les navigateurs modernes qui associent un sous-répertoire contenant les annexes au document HTML lors de son enregistrement. Même constat pour les polices utilisées dans le texte ou pour les graphiques vectoriels (inexistants en HTML sauf via l'utilisation de Flash ou SVG). Et si, au contraire, Adobe voulait se rapprocher de Flash, dont Macromedia - son grand concurrent - est à l'origine ? Pourtant...
En résumé on peut déjà faire tout ce qu'Adobe propose avec le PDF mais en plus léger, de manière universelle et adaptée à de multiples supports *sauf* pour l'impression qui reste délicate. En somme, aucun avantage pour 99.99% des cas d'utilisation du web. Ce n'est pas pour rien que Google indexe la plupart des documents PDF en proposant une version HTML plus ou moins lisible.
mercredi 22 décembre 2004 | Webdesign
En voulant vérifier que cette image est réellement issue d'une photo couleur... En jouant sur le contraste image par image... On s'amuse avec un rien.
Voir l'animation inutile (swf ~1.2 Mo)
lundi 6 décembre 2004 | Webdesign
Il y a dix ans naissait le W3C, World Wide Web Consortium, chargé de la rédaction de recommandations afin d'éviter la multiplication de protocoles et de standards.
01net : Le W3C souffle ses dix bougies
NetEconomie : Le W3C souffle sa 10ème bougie
(Un peu avares en bougies chez Neteco sur le coup).
jeudi 2 décembre 2004 | Webdesign
Firefox toujours... Dans about:config on peut constater la présence de la clé browser.turbo.enabled et passer la valeur à true. Mais à quoi correspond réellement cette option ? Apparemment il serait (entre autres) plus rapide à lancer.
samedi 27 novembre 2004 | Webdesign
L'affaire VirginMega vous manque ? Pas d'inquiétude, la fin des sites ultra-restrictifs n'est pas pour demain.
La Fnac propose des vidéos en téléchargement. Oh, rien de transcendant. Du WMV en "Qualité numérique" ou "Qualité DVD". Très subjectif. Seulement voilà, on dirait qu'un webmaster fraîchement revenu de ses vacances de 3 ans sur mars est passé par là : ça fait bien amateur tout ça (à voir avec autre chose qu'IE6 + WinXP + WMP9 - sacrées conditions, il reste encore à refouler à l'entrée tous ceux qui n'ont ni smoking ni carte de membre de la Mensa).
En suivant les liens, on remarque que le site est powered par Movie System, qui lui-même a été mis au monde par NetCine... Stupeur, le même message.
mercredi 24 novembre 2004 | Webdesign
samedi 20 novembre 2004 | Webdesign
Quid de la 3D sur le web ? Après moult tentatives, aucune technologie n'a réussi à s'imposer comme standard, ouvert ou non. Il y a quelques années on prédisait des sites entièrement en 3D où l'utilisateur naviguerait dans un univers virtuel à la recherche d'informations; mais finalement on s'oriente vers des sites de plus en plus "propres" esthétiquement, simples, ergonomiques et... 2D sans vouloir surrenchérir graphiquement. L'histoire de la 3D sur le web est jalonnée de succès éphémères. Des internautes curieux installaient ces plugins souvent lourds pour vivre de nouvelles expériences puis abandonnaient la partie faute d'intérêt prolongé. La 3D était encore un monde magique, exotique, loin d'être utilisé à outrance dans les jeux.
L'antique VRML est toujours là. Plug-in renommé pour sa visualisation, Blaxxun allie DirectX 9 et OpenGL pour afficher les documents aux formats VRML97 et VRML2.0 avec en bonus le support MPEG-4, X3D, Nurbs, RealMedia et BSP (entre autres) et une orientation communauté avec un client de chat intégré. Pourtant les alternatives au VRML ne manquent pas.
Scol (Standard Cryo On-line Language), sous licence BSD, est un essai courageux. Cependant très peu répandu et moyennement actif. A l'origine développé par Cryo pour Canal+ et son chat virtuel Le Deuxième Monde, nécessitant une machine virtuelle mais aussi un logiciel serveur. Depuis la liquidation du groupe Cryo en 2002, le projet est poursuivi par ses passionnés et par ses fondateurs sous la forme d'un projet opensource. Son intérêt est de se baser sur le SDK SCS (Site Construction Set) pour intégrer les scènes 3D et le langage depuis un interface graphique, sans ligne de code à l'horizon.
Java s'y est essayé. Le développement reste encore lourd, orienté code, malgré la mise à disposition de l'API Java 3D, éloigné de ce qui a rapidement fait le succès de Flash : un plugin léger, multi-plateforme, avec un IDE de développement bien conçu. Quelques applets de démonstration sont disponibles dans le repository avec toutefois une interrogation sur les problèmes de performances inhérents à Java. Sumea se propose de changer la donne avec un moteur de rendu souple et réaliste, utilisé notamment dans les jeux pour téléphones mobiles.
Adobe s'est aussi lancé dans la course en 2000 avec Adobe Atmosphere. Le prix (400$) de la plateforme de création est dissuasif et le plug-in Atmosphere Player n'est disponible que pour IE. Le moteur permet d'intégrer scripts et animations (JavaScript, Flash, SVG), video (Quicktime, Windows Media), audio (WAV, MP3), et effets physiques en temps réel (grâce à Havok et Virtools) sans nécessité d'utiliser un serveur additionnel. Voir aussi les features complètes du produit qui ont l'air alléchantes sur le papier.
Macromedia Shockwave 3D s'impose petit à petit. La compétence de Macromedia en matière d'animation n'est plus à démontrer, la popularité de Flash et Shockwave (annoncés comme étant installés sur 97% des PC) ne font plus aucun doute. Shockwave depuis sa version 8.5 exploite autant Direct3D qu'OpenGL et est disponible sur un nombre conséquent de plate-formes. La conception se fait via Director (malheureusement pas d'intégration directe dans Flash pour l'instant). Le moins qu'on puisse dire est que Shockwave 3D dispose d'une bonne longueur d'avance sur Adobe Atmosphere, soutenu par des grands noms tels que Discreet et Alias!Wavefront. Il devient fréquent de rencontrer des pages proposant des jeux en Shockwave 3D.
Le Web3D Consortium, organisation à but non-lucratif, a présenté le standard open source X3D comme remplacant au VRML. C'est un nouvel espoir soutenu par quelques acteurs de la 3D et dont le développement se fait aux côtés du W3C pour intégrer X3D au XML. En jetant un coup d'oeil sur quelques exemples on peut s'apercevoir que le tout est effectivement codé en XML. Ouverture oblige, il n'existe pas qu'un seul plug-in de visualisation mais plusieurs de qualité inégale.
C'est là par les jeux en ligne et la manipulation d'objets sur les sites de commerce que la petite révolution de la 3D viendra progressivement, en attendant des langages vraiment standardisés, ouverts et vraiment intégrés aux navigateurs. D'ici là les solutions propriétaires ont encore de beaux jours devant elles. D'un certain point de vue c'est rassurant pour les webmasters qui ne sont pas experts en création 3D et qui veulent survivre à la déferlante qui risque d'envahir le monde du haut-débit. Voire de l'ultra-très-haut-débit comme il est désormais nommé par les experts du marketing : les environnements, modèles et textures promettent d'être aussi lourds qu'un éléphant ayant bénéficié d'un carpaccio à volonté à Disneyworld.
Voir aussi :
Outsiders et technologies afférentes :