17 mai 2005 | Médias et #fail
Mes pronostics pour le scénario :
Anakin veut collectionner les figurines Lucasfilm à son effigie, mais Padmé trouve son attitude trop puérile et le quitte pour Obi-wan qui est plutôt pour la constitution européenne. Anakin passe alors du côté obscur de la Force et se fait naturaliser Ewok sur les conseils de Palpatine. Ils supervisent tous deux la construction de l'Etoile Noire version beta 0.1 qui n'est pas encore noire puisque la première couche de peinture n'est pas sèche. Les clones quant à eux commandent en masse leurs costumes aux industries textiles chinoises et font sombrer la galaxie dans le chaos économique. Anakin est fâché parce que les trams étaient en grève le lundi de Pentecôte, qu'il a du se servir de son vélo-laser sous la pluie, et jette Obi-wan dans un volcan pour se réchauffer. Les autres personnages font quelques trucs à droite et à gauche sans importance, sauf pour les effets spéciaux d'ILM.
Et il y en a qui sont encore plus atteints :
Tags: star-wars
16 mai 2005 | Autour du monde
Jadis, il y avait les sculptures sur crème chantilly, les rubik's cubes en chocolat et les pyramides de pots de nutella. Maintenant, il y a les iPod en nourriture. But : concevoir un shuffle en utilisant uniquement des aliments.
Les réalisations ne manquent pas de piment mais la qualité audio est encore très médiocre. Se promener dans la rue avec deux morceaux de banane dans les oreilles est encore trop avant-gardiste. Pendant ce temps, Barbie accouche et Noiz2 distrait les foules (Java).
15 mai 2005 | 3617 MyLife
12 mai 2005 | 3617 MyLife
Pas assez de codes #hexa pour tous ces pigments...
11 mai 2005 | Médias et #fail
Parce qu'il y a des jours où l'ennui se fait insistant, et où il reste de vieux débris lourds dans la décharge du coin...
Il y a de quoi faire rêver les plus jeunes : "Un jour je soulèverai des pneus de monster truck et des cochonnets de béton géants."
9 mai 2005 | Médias et #fail
Il semble que plusieurs sites d'information et journaux papier se soient emportés au sujet du très controversé ASFI, terme signifiant Accès Sans Fil à Internet, proposé en remplacement de WiFi, acronyme d'origine anglophone.
En effet, il serait injuste de traduire WiFi (Wireless Fidelity, que l'on peut assimiler à "communication sans fil haute-fidélité") par ASFI car un réseau sans fil ne comporte pas nécessairement d'accès à Internet. C'est un moyen de communication, assimilable à un câble réseau classique (NB pour ceux qui ne suivent pas : mais sans câble hein). Il ne sous-entend pas obligatoirement d'accès à Internet.
Le ministère de la Culture, et plus précisément la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, a répondu à mes inquiétudes sur ce sujet : la publication au Journal officiel recommande ce terme en équivalent du terme étranger Wireless Internet access. La mention de WiFi, en note, n'est qu'un complément d'information qui évoque la norme internationale en question. Pour en savoir plus, il est aussi possible de consulter la base terminologique CRITER qui regroupe l'ensemble des termes recommandés publiés au Journal officiel, avec leur définition.
Par contre toujours pas de nouvelles au sujet d'arroseur qui est suggéré en remplacement de spammer. Sans oublier le lourd passé de la DGLFLF : clavardage, cédérom, souriard, binette, hypertoile, finaud, brouteur, emmaillotage, babillard et moult autres créations tchernobyliennes, qui n'auraient jamais du voir le jour et que personne ne veut adopter.
Je propose dorénavant de traduire Bill Gates par William Portes, George Bush par Georges Buisson, et d'embaucher JCVD à la tête de la DGLFLF.
8 mai 2005 | 3617 MyLife
Quelques exemples de la fine gastronomie chinoise...
Pékin, marché de nuit. Sauterelles et scorpions à foison. Diverses autres créatures qu'il est inutile de nommer pour savoir qu'il sera difficile de les savourer.
D'autres photos du marché de nuit :
D'autres photos de Pékin by night, quartier branché :
Difficile de faire pire ? Et pourtant, à Canton il y a pire... Fear.
7 mai 2005 | Médias et #fail
Le Times rapporte que les antiques moyens de communication peuvent encore se défendre, particulièrement ceux portant des noms d'animaux aux longues dents (A race to the wire as old hand at Morse code beats txt msgrs).
Le duel a été mené en Australie avec un ancien opérateur de télégraphe, Gordon Hill, 93 ans, et une SMS-euse expérimentée, Brittany Devlin, 13 ans. Le premier ayant évidemment été assigné au transmetteur et la seconde au mobaïle qu'elle manie depuis déjà 2 ans. Le texte à envoyer était inspiré d'une publicité de magazine pour jeunes consommateurs :
Hey, girlfriend, you can text all your best pals to tell them where you are going and what you are wearing.
Autrement dit "Hé toi, envoie à tes ami(e)s plein de messages à 0.15$ pour leur dire où tu vas, ce que tu portes aujourd'hui et ce que tu as mangé à midi, parce qu'ils ont super envie de le savoir.". La transmission fut effectuée sans faute en Morse, mais avec une orthographe simplifiée par Britanny : "hey gf u can txt ur best pals 2 tel them wot u r doing, where ur going and wot u r wearing.".
Ce n'était donc pas très équilibré parce qu'à 13 ans on n'a peut être pas encore toute la maîtrise de ses facultés psychomotrices (surtout quand on dispose d'un skyblog) et qu'à 93 printemps il y a une plus forte probabilité d'être parkinsonien, donc plus apte à morse-coder du petit doigt naturellement. Au final, Gordon l'a emporté haut la main. 80 ans de pratique à l'office postal Australien, ça aide.
Inventé en 1832 par Samuel Morse, le code du même nom, composé de points et traits fut utilisé dans les communications maritimes jusqu'en 1997. Il vous est toujours possible de l'apprendre. Prochainement, un Navajo traditionnaliste de l'Arizona se mesurera grâce à ses signaux de fumée à un ingénieur Cisco maniant des Catalyst transatlantiques à 10 Gb/s.
5 mai 2005 | 3617 MyLife
Marchand de patates (est-ce vraiment un assortiment de patates ? qui pourra deviner ?), tailleur de pavés à casquette occidentale, mendiant rapiécé. Abstinence sur les vendeurs de Rolex à 2€.
Pour rebondir sur les précédentes allusions aux cybercafés chinois, il semble que la censure et le filtrage imposés par le gouvernement soient très actif. Dans certaines villes il est impossible de se connecter aux sites français, et les tenanciers prennent un air innocent ou dubitatif lorsque le sujet est abordé... Un autre cas de figure plus comique est celui du filtrage sélectif qui ne laisse passer que le quotidien l'Humanité (à tendance communiste) mais pas Libération ou Le Figaro (tendance de droite).